https://www.traditionrolex.com/18 GAUCHE UNITAIRE : APRES LE 10 DECEMBRE... - La Gauche Cactus

GAUCHE UNITAIRE : APRES LE 10 DECEMBRE...

Par Jean-Luc Gonneau
vendredi 15 décembre 2006
par  Jean-Luc Gonneau
popularité : 61%

Comme on le sait sans doute, la réunion nationale des collectifs pour des candidatures unitaires pour une alternative au libéralisme, convoquée les 9 et 10 décembre pour désigner un(e) candidat(e) à l’élection présidentielle n’a pu aboutir à une décision. La presse a fait écho, parfois en s’en gaussant, à cet échec. Pour autant, les ponts ne sont pas coupés, et les collectifs ont mandaté leur instance nationale pour rechercher une solution. Pourquoi cet échec ? Quelles pistes pour aboutir ?

Pourquoi cet échec

La méthode choisie pour aboutir à une candidature commune n’est pas des plus simples. Soyons positifs et disons qu’elle est innovante. Baptisée « double consensus », elle suppose un accord au niveau des collectifs locaux et des organisations membres du collectif. La notion de consensus est bien différente de celle de majorité : elle implique un accord sinon unanime, du moins partagé par le plus grand nombre.

Le mouvement regroupe des collectifs locaux de tailles différentes (de quelques personnes à deux ou trois centaines). La composition de ces collectifs est également très variable : présence dans certains de militants de diverses organisations, d’une seule (souvent le PCF) dans d’autres, participation très variable de citoyens non adhérents à des organisations. Chaque collectif étant autonome, les votes préférentiels pour désigner un candidat ont pris des formes différentes : uninominal (c’était la proposition du PCF), préférentiel à 3, 4 ou 5 candidats, pondérés ou pas par des coefficients (c’était la position de plusieurs autres organisations, et celle du Cactus/La Gauche !), consensus sur un ou deux noms, refus de choisir, et on en passe. Comptabiliser les résultats, dans ces conditions, devient une opération à haut degré d’approximation. D’ailleurs, le processus adopté par tous excluait une comptabilisation nationale des votes, à laquelle néanmoins certains s’attelèrent (la chair électorale est faible) avec des résultats forcément discordants, obligatoirement approximatifs, et se prêtant ainsi à de multiples contestations.

L’analyse des résultats des réunions des collectifs locaux est cependant riche d’indications. Ainsi, nul ne peut contester que Marie-George Buffet est la personne la plus souvent désignée. A-t-elle obtenu une majorité absolue ? Ce n’est pas évident, et de plus a peu de sens dans la mesure où c’est la notion de consensus qui s’applique, et non celle de la majorité. Mais il faut retenir qu’une partie importante des membres des collectifs propose la candidature de Marie-George Buffet. Le poids numérique du PCF par rapport aux autres organisations n’y est pas pour rien, d’autant que la direction du parti a fortement pesé pour mobiliser ses adhérents autour de ce vote. Bien des communistes dont la présence dans les comités était épisodique, voire inexistante, ont participé au vote. On peut aussi estimer que ce poids important du PCF, qui n’est pas une surprise, sauf naïveté, souligne en creux la difficulté des collectifs à mobiliser très au-delà des cercles militants. Même si on peut citer de nombreuses exceptions, la majorité des collectifs est animée par des militants aguerris, blanchis sous le harnois de nombreux combats, familiers de langages codés qui ne sont pas forcément les mieux à même de susciter l’enthousiasme d’éventuels nouveaux arrivants (mais il y en a quand même).

Concernant les autres candidats, les premiers procès verbaux reçus des collectifs locaux ont montré que la candidature de José Bové recueillait un faible assentiment. Ce constat a-t-il joué dans son retrait ? Simple hypothèse. Il en a été de même pour Patrick Braouzec, ce qui est moins surprenant dans la mesure où sa notoriété nationale est moindre que celle du leader altermondialiste. Par contre, de nombreux collectifs ont accueilli favorablement les candidatures de Clémentine Autain et d’Yves Salesse, avec un léger avantage pour la première. Résultat sans doute, pour Yves Salesse, d’une présence forte dans l’animation de la campagne référendaire et dans les meetings des collectifs locaux, Clémentine Autain bénéficiant d’une présence médiatique plus soutenue, au point, parfois, d’en agacer certains (ah, les jaloux...). Ajoutons que la différence de « ligne politique » entre eux deux et même Patrick Braouzec est ténue, ce qui a pu exacerber certains critères positifs ou négatifs (par exemple, lus dans les comptes rendus de collectifs : la jeune - positif - mais inexpérimentée -négatif -, le technocrate - négatif - mais compétent - positif).

Les votes sur des personnes ont toujours des effets pervers. D’autant que le contexte très particulier de cette consultation (le consensus comme principe directeur) a pu entraîner des motivations de vote très différentes : celle, « classique », du candidat que je préfère, celle du candidat qui me parait le plus à même de rassembler les composantes des collectifs, celle du candidat qui est le plus susceptible d’être accepté par toutes ces composantes. C’est ce dernier cas qui semble le plus proche du principe de consensus. Ce fut loin d’être celui majoritairement pris en compte par les participants au vote. Ainsi, dans les collectifs qui avaient choisi un vote préférentiel, vit-on une proportion significative de bulletins ne comportant qu’un seul nom, ce qui ôte une part à l’ « esprit de consensus ».On peut reprocher à celui-ci de définir un plus petit commun dénominateur a priori réducteur, mais on ne peut lui dénier un caractère rassembleur. Au fond, la question posée n’était-elle pas « quels sont, parmi le candidats, ceux qui ne vous paraissent pas faire consensus ? ». Voila qui eut pris à rebrousse poil les traditions électives de notre pays, mais, après tout, tant qu’à innover...

Une conséquence de ce contexte imprécis, sans doute amplifié par la proposition de candidature de Marie-George Buffet par le PCF sans réelle alternative, a polarisé le débat sur le dilemme « pour ou contre Marie-George », sans que soit, sauf pour une partie des collectifs, vérifiée la qualité consensuelle des autres candidatures, notamment celles de Clémentine Autain et d’Yves Salesse. D’où l’impasse des 9 et 10 décembre, qu’on espère provisoire.

Des pistes pour aboutir

La réunion des 9 et 10 décembre comme les résultats des réunions des collectifs ne peuvent être mis entre parenthèses. Elles ont permis de recueillir des informations, des contradictions, et aussi ouvert de nouvelles portes.

Il convient d’une part de vérifier que le dissensus exprimé sur la candidature de Marie-George Buffet, sans doute pas majoritaire dans les collectifs mais tout de même important, et par contre fort au niveau des organisations, peut être surmonté. Ce dissensus est avant tout fondé sur le fait que Marie-George Buffet est identifiée comme la leader du PCF, et que cette qualité donne au rassemblement une image trop caractérisée dans ce sens. Au point où en sont les choses, et sauf coups de théâtre, on voit mal comment les points de vue, depuis longtemps identifiés, pourraient se rapprocher : ce fut déjà le sujet d’une kyrielle de réunions, sans avancée perceptible. Une autre question est parfois mise sur le tapis : les sondages (qui ne sont que ce qu’ils sont, mais bon...) indiquent un plafonnement de cette candidature à 2 ou 3%. Une investiture par les collectifs serait-elle suffisante pour lui donner de l’élan et la distancier par rapport à une étiquette « candidate du Parti » que par ailleurs elle est aussi ? Pas évident, et à discuter.

Il convient d’autre part de vérifier que les candidatures ayant recueilli des suffrages moins importants mais significatifs, celles de Clémentine Autain et d’Yves Salesse, sont susceptibles de réaliser un consensus suffisant, et, dans la négative, d’expliquer pourquoi. A notre sens, il nous paraît que si le consensus est possible, la candidature de Clémentine Autain est à prendre en considération : la rupture générationnelle, qui n’est incarnée aujourd’hui dans l’arène des présidentielles que par Olivier Besancenot, et la notoriété naissante (atout qu’il ne faut pas négliger dans le contexte électoral d’une présidentielle) plaident en sa faveur.

Il convient enfin d’explorer des pistes nouvelles. Trois sont apparues lors des travaux des 9 et 10 décembre. La première est l’hypothèse d’une « personnalité communiste reconnue dans le mouvement social ». C’est apparemment une perche tendue au PCF, mais bien illusoire : la difficulté à mettre un nom sur cette proposition en est un signe (celui de Francis Wurtz, député européen, a parfois été avancé dans les débats de certains collectifs). La seconde est le recours à Claude Debons, l’un des piliers de la campagne référendaire. Il est très reconnu dans les cercles militants, et très peu connu au-delà. La troisième est la proposition de candidature de Jean-Luc Mélenchon. Elle n’a pas été accueillie favorablement par celles des composantes qui se reconnaissaient naguère dans la notion de « pôle de radicalité », et qui peuvent en garder quelque nostalgie. Elle a, pour ce qui nous concerne, des avantages évidents : très engagé pour le Non dans la campagne référendaire, référence pour une partie de l’électorat socialiste, qui est une des cibles privilégiées de la gauche unitaire, Jean-Luc Mélenchon a des atouts à faire valoir. Seront-ils suffisants pour venir à bout des réticences ? Cela aussi mérite un débat approfondi, au-delà de réactions immédiates.

De l’analyse de ces trois hypothèses, du choix, consensuel, de l’une d’elle dépend le succès de l’initiative des collectifs unitaires. Ce serait bien le diable de ne pas réussir. Mais on sait que le diable est malin.

Jean-Luc Gonneau est membre du Collectif national d’initiative pour les candidatures unitaires et de son secrétariat.


Commentaires

Logo de インプラント
dimanche 28 décembre 2008 à 20h40 - par  インプラント

東京都 港区 インプラント/東京都 荒川区 インプラント/東京都 国分寺市 インプラント/東京都 三鷹市 インプラント/東京都 渋谷区 インプラント/東京都 新宿区 インプラント/東京都 杉並区 インプラント/東京都 世田谷区 インプラント/東京都 千代田区 インプラント/東京都 台東区 インプラント/東京都 大田区 インプラント/東京都 中央区 インプラント/東京都 中野区 インプラント/東京都 町田市 インプラント/東京都 調布市 インプラント/東京都 八王子市 インプラント/東京都 板橋区 インプラント/東京都 品川区 インプラント/東京都 武蔵野市 インプラント/東京都 文京区 インプラント/東京都 北区 インプラント/東京都 墨田区 インプラント/東京都 目黒区 インプラント/東京都 北区 インプラント/東京都 品川区 インプラント/東京都 墨田区 インプラント/東京都 新宿区 インプラント/東京都 渋谷区 インプラント/東京都 杉並区 インプラント/東京都 世田谷区 インプラント/東京都 台東区 インプラント/東京都 中央区 インプラント/東京都 千代田区 インプラント/東京都 中野区 インプラント/東京都 文京区 インプラント/新宿区 四谷 インプラント/新宿区 新宿 インプラント/新宿区 西新宿 インプラント/

渋谷区…
新宿区 恵比寿 インプラント/新宿区 渋谷 インプラント/新宿区 上原 インプラント/新宿区 代々木 インプラント/新宿区 道玄坂 インプラント/新宿区 富ヶ谷 インプラント/杉並区 阿佐ヶ谷 インプラント/杉並区 阿佐谷北 インプラント/杉並区 高井戸 インプラント/杉並区 高円寺 インプラント/杉並区 上井草 インプラント/世田谷区 玉川 インプラント/世田谷区 上馬 インプラント/世田谷区 成城 インプラント/世田谷区 千歳台 インプラント/世田谷区 中町 インプラント/千代田区 丸の内 インプラント/千代田区 紀尾井町 インプラント/千代田区 神田 インプラント/千代田区 二番町 インプラント/千代田区 飯田橋 インプラント/千代田区 平河町 インプラント/八王子市 旭町 インプラント/八王子市 高倉町 インプラント/八王子市 子安町 インプラント/八王子市 打越町 インプラント/八王子市 八日町 インプラント
Site web : インプラント
Logo de Laurens Cap
samedi 17 février 2007 à 08h17 - par  Laurens Cap

L’extreme gauche n’est qu’une utopie voue a l’echec dont les composants sont une partie de la jeunesse bourgeoise doree se la jouant "Che Guevara", quelques "papys" nostaliques de la grande U.R.S.S (on en a vu les resultats ...) et deux, trois moutons autistes de la politique qui ont vite compris qu’etre de Gauche etait tres tendance actuellement !!

Elle est belle la Gauche unitaire !!

mercredi 20 décembre 2006 à 05h59

Vous qui vous intéressez activement à la possibilité d’une candidature
véritablement alternative, unitaire à gauche, écologiste, et solidaire, vous
lirez un peu partout dans les heures qui viennent des communiqués annonçant
que "l’Alternative Unitaire est morte ce soir" : rien n’est moins vrai !!!

MAGOUILLES POLITICIENNES :

Certes, la réunion du Collectif National ce 19/12 a continué à balader tout le
monde jusqu’au bout avec des balivernes et des micro-candidatures pour éviter
celle qui peut rassembler le plus largement. Certes, la branche anti-unitaire
de la direction du PCF a fait un forcing désespéré pour imposer Marie-Georges
Buffet, bien que les sondages lui donnent autour de 2% ...

UNITE A LA BASE

Mais dans nos collectifs locaux, nous avons tous pu rencontrer des
militants "de base" sincèrement et profondément unitaires du PCF, de la LCR,
de PRS, de Mars, des Objecteurs de Croissance, des "alters", des écolos, qui
pas plus que vous et moi ne se résignent pas à un duel Ségozy-Sarkolène
arbitré par Le Pen et sans aucune perspective autre que de s’en
prendre "plein la gueule" pendant encore 5 ans.

Les manoeuvres politiciennes au sommet ont pourtant réussi à empêcher cette
unité d’aller jusqu’au bout. De qui ont ils si peur ??? Mais de NOUS, tout
simplement ! Du peuple, des citoyens, des électeurs que nous sommes !!!

NO PASARAN !!!

Ne les laissons pas faire ! Ne nous résignons pas : il reste UNE candidature
qui peut faire un très large consensus, et, surtout, un score à deux chiffres
aux présidentielles : celle de José Bové !!!

BOVE AVAIT RAISON DEPUIS LE DEBUT !!!

Ce qui c’est passé hier à Paris confirme de manière éclatante que Besancenot a
eu raison de se retirer "provisoirement" (et de se présenter logiquement et
temporairement au nom de la LCR), que José Bové a eu raison de se
retirer "provisoirement" (en attendant la réussite de l’UNITE), et que
les "refondateurs" du PCF ont eu raison de démissionner du CN de leur parti.
Ce sont, avec nous, "la base", les plus unitaires.

Olivier Besancenot a encore confirmé ces derniers jours qu’il se retirerait si
c’est Bové, et si l’on prend en compte les demandes de la LCR sur le SMIC, le
nucléaire, les sans-papiers, et sur le refus d’alliances électoralistes sur
le programme libéral du PS. Il est à 6% dans les sondages, et MGB à 2% ...

C’EST QUI ?

Ce soir, je viens d’avoir au téléphone une amie que j’ai connue à Grenoble,
quand j’avais participé à la création de "Droit Au Logement" : j’ai essayé de
lui expliquer ce qu’on tentait de construire, tous ensemble. Je précise
qu’elle est inscrite sur les listes électorales, et qu’elle vote à chaque
élection, à gauche. Quand je lui ai parlé de la volonté de MGB de se
maintenir même en faisant exploser le rassemblement, elle m’a juste demandé :
- "C’est qui, Marie-Georges Buffet ???"

Bien sûr, moi qui suis militant, ça m’a surpris ! Mais faites le test autour de vous : essayez de demander aux électeurs peu sensibles à la politique, ou à un échantillon assez large de personnes prises au hasard : vous constaterez que MGB n’est pas si populaire que ça (essayez en banlieue !), que Salesse et Autain sont des inconnus, et que le seul nom qui revient sans cesse, partout, c’est celui de José Bové !!! JO-SÉ BO-VÉ !!! Faites plus semblant de pas entendre, vous, là-haut ! On n’est pas dupes ...

ACTION !!!

Qui de nos jours pourrait mieux que José Bové incarner l’union de la faucille et du marteau ? ;-)

Mais que faire ? D’abord, avec nos petites forces, percer le mur médiatique en
allant dès maintenant sur TOUS les sites Internet concernés, et sur ceux des
médias, rappeller qu’UNE possibilité de candidature de RASSEMBLEMENT UNITAIRE
reste POSSIBLE : celle dont les appareils n’ont pas voulu. Celle que les
électeurs attendent : la candidature de José Bové.

Pour PERCER LE MUR DES MEDIAS de l’establishment : tous à vos claviers !!!
Personne ne le fera à votre place ...

Ensuite, ne pas se résigner à l’acte de décès officiel du RASSEMBLEMENT : réunir nos collectifs locaux, aborder franchement les sujets qui n’ont pas étés traités "en haut", et chercher un accord.

Enfin, se rencontrer dès que possible pour relancer notre projet initial : un RASSEMBLEMENT, UNITAIRE, avec toutes et tous ceux qui, militants sincères et dévoués du PCF, de la Ligue, "alters", "écolos", et citoyens non encartés, veulent faire de la politique autrement, en réseau, en "peer-to-peer", pour enfin ouvrir un espoir à gauche.

Minga

"Parce que le vrai courage est de faire ce qui est juste"

Logo de FredSud37
dimanche 17 décembre 2006 à 18h27 - par  FredSud37

Je vous conseille vivement la lecture de l’article intitulé "La candidature Mélenchon, une perspective de victoire" et qui est disponible : ICI.

Salut & Fraternité.

Logo de KABELAAN  Patrick
dimanche 17 décembre 2006 à 00h36 - par  KABELAAN Patrick

Dans cet article de Jean-Luc Gonneau, on peut lire : "la notion de consensus est bien différente de celle de majorité : elle implique un accord sinon unanime du moins partagé par le plus grand nombre."
Je suis désolé mais un accord partagé par le plus grand nombre, c’est la définition même de la notion de majorité. J’ai vérifié dans mon Larousse, parce que depuis le 10 décembre je commence à avoir des doutes sur le sens des mots.
J’ai par exemple découvert que consensus signifie que mon opinion a moins de poids que l’opinion de certains autres.
Personne ne m’a expliqué en quoi Clémentine ou Yves feraient plus consensus que Marie-George.
Plus loin dans cet article, on nous parle " du candidat le plus à même de rassembler les composantes des collectifs, le plus susceptible d’être accepté par toutes ces composantes."
Moi, ma préoccupation c’est de trouver le candidat le plus à même de rassembler les millions de françaises et de français qui souffre du libéralisme, le plus susceptible d’être accepté par tous ceux qui ont vu baisser leur pouvoir d’achat, se dégrader leur conditions de travail, et même trop souvent ont perdu leur emploi.
Les états d’âme de quelques responsables de certaines composantes du collectif national ne me semblent pas être des données importantes pour notre réflexion collective.
Cordialement,
Patrick Kabelaan

Logo de FredSud37
samedi 16 décembre 2006 à 19h25 - par  FredSud37

Si vous ne l’avez pas encore vue, je vous invite vivement à regarder la vidéo de l’intervention de Jean-Luc Mélenchon lors de la réunion de travail des Collectifs Unitaires à Saint-Ouen dimanche dernier et qui est disponible : ICI.

samedi 16 décembre 2006 à 08h45

Bonjour.

Le consensus est une chose idéal, c’est à dire une façon de désignation qui fait émergée un candidat qui satisfait une assemblée.

Mais comme le consensus n’existe sur aucune proposition comme on l’a vu ce weekend, comment désigner une personne autrement.

Il reste bien entendu à se prononcer de nouveau sur les candidats pour trouver un consensus comme nous y invite le document du Collectif National du 13 dec 06
( Marie Georges Buffet, Clémentine Autain, Yves Salesse en s’appuyant sur les tendances prononcées dans les collectifs : MGB 55% des collectifs, Autain 23%,
Salesse 20% ou sur le nombre des participants : MGB 63,84%, Autain 14,53%,
Salesse 15,29%) ou sur une candidature comme Melanchon, Debons ou autres.

Il s’agit bien de trouver une solution sans exclusive ni préalable quand bien même un candidat est idendifié comme dirigeant d’un parti et qui limiterait le rassemblement, ce qui reste bien évidemment à prouver car les sondages ne sont que le reflet des opinions sur un candidat déclaré et porté dans les médias. Exemple : Aliot Marie créditée de 3% en Octobre et après s’être porter à la candidature à l’UMP en novembre, est crédité de 39% d’intention de votes en décembre ?

Camel membre du Collectif Girondin.

Brèves

1er mars 2012 - BREF HOMMAGE A MENDES FRANCE, par François LEDRU

Chez les Ledru, bourgeois catho (comment puis-je être si différent d’eux ?), les gosses (...)

17 août 2009 - SIGNEZ LA PETITION ANTI-BONUS !

Les grands dirigeants du monde prétendent ne rien pouvoir faire dans leur pays contre le retour (...)

25 mai 2008 - NOUS SOMMES ELUS DU PEUPLE, PAS DE SARKOZY : POUR LA DEFENSE DU DROIT DE GREVE : DESOBEISSANCE CIVILE DES ELUS !

Le 15 mai 2008, le président de la République en titre a osé remettre en cause le droit de (...)
https://www.traditionrolex.com/18 https://www.traditionrolex.com/18