Un référendum ou un plébiscite ? Amorce de réflexion sociologique

Par Danielle Bleitrach
samedi 2 avril 2005
par  Danielle Bleitrach
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Un référendum ou un plébiscite ? Amorce de réflexion sociologique

Par Danielle Bleitrach

Oui, le Non au Traité Constitutionnel prend de plus en plus le sens d’un combat pour la démocratie. La Démocratie au sens plein du terme, un gouvernement par et pour le peuple et pas un simple rituel électoral contrôlé de A à Z parce qu’un système de propagande, un véritable rouleau compresseur impose au peuple, ignorant des enjeux, un seul choix : le OUI....un plébiscite.

Au delà du traité, un mécanisme institutionnel à produire du consensus

Nous risquons un système politique sans alternative comme aux États-Unis. Celui de deux partis majoritaires s’entendant sur le fond, sur les orientations néo-libérales, sur la mise en concurrence des salariés, sur le démantèlement des services publics, sur la pression sur l’emploi et les salaires pour réserver les fruits du travail aux actionnaires, aux secteurs financiers, sur la soumission aux États-Unis, sur l’intégration totale à l’OTAN.

L’Europe telle qu’elle a évolué depuis sa création est devenue cela. Les institutions européennes sont devenues simple Conseil d’administration des Grands intérêts et un appareil à fabriquer du consensus entre gauche et droite, un système opaque, élitiste, décourageant l’exercice de la citoyenneté. Des directions syndicales intégrées à ce fonctionnement, des députés de gauche, voire communistes, participant à des clubs où avec des grands patrons, où on élabore des projets de privatisation. Des élus sans pouvoir mais gorgés d’avantages financiers en tous genres.

Toute cette bureaucratie n’est pas un simple dysfonctionnement que permettrait de surmonter un traité constitutionnel, celui au contraire l’entérine, l’impose aux constitutions nationales. L’Europe est devenu le moyen d’annihiler le processus électoral, de rendre le choix citoyen inopérant. Et cela va au delà des partis politiques. On le voit bien avec le silence de Bernard Thibault, malgré une base à 82% contre le traité.Entendons-nous bien : ce n’est pas un tel ou un tel qui serait un "traître", mais bien un système dans lequel il faut une force, une organisation, une mobilisation, nécessaire à un individu quel qu’il soit pour s’y opposer autrement il est "pris". Ce qui importe dans un tel système n’est plus le mandat de la base qu’il soit politique ou syndical, mais les garanties données au système consensuel de "tenir" cette base. Le dirigeant qu’il soit celui des partis ou celui des syndicats tire désormais "sa légitimité" non plus de son organisation mais de sa capacité à orienter cette organisation, à lui faire accepter des décisions qui proviennent d’ailleurs : faire voter oui au référendum, empêcher que le syndicat se prononce quand il y a danger de le voir dire Non, pourquoi pas alors casser le mouvement quand il proteste "contre les réformes", les privatisations décidées en haut. Et sous couvert "d’indépendance syndicale", alors même que l’on subordonne toutes les luttes sociales au vote en faveur du PS, interdire l’expression des salariés. Il ne s’agit pas, je le répète, de tel ou tel dirigeant, il s’agit d’un système dans lequel l’ensemble de la gauche est ligoté et l’Europe telle qu’elle est et telle qu’on nous la prépare, en est la forme achevée.

La légitimité médiatique

Autre base de la légitimité, celle issue des médias sensés exprimer "l’opinion publique". Les élus du peuple, et singulièrement les partis de gauche ne s’intéressent plus à leurs adhérents mais à la revue de presse. Il s’en dégage "un politiquement correct". On en finirait pas d’énumérer à propos de l’Europe ce que cela produit, mais prenons l’essentiel. Comment les dirigeants des partis politiques de gauche français se sont-ils auto-intoxiqués au point d’être tous convaincus que "l’opinon publique française" était pro-Europe ? Que si l’on voulait être entendu il ne fallait plus défendre la nation, la laisser à l’extrême-droite ? Au point d’aboutir pour le PCF à cet invraisemblable slogan sur le traité constitutionnel : "Voter Non pour donner sa chance à l’Europe !" Sans se rendre compte que si les Français n’ont rien contre une Europe des peuples, d’une part ils tiennent à la Nation française, et d’autre part ils ne peuvent éprouver aucun "patriotisme" pour cette Europe telle qu’elle se met en place sous leurs yeux...

Ce sont les médias qui produisent périodiquement des "illusions" sur l’opinion. Ils fonctionnent au niveau idéologique à la manière dont ils transforment la mort de Diana ou celle du Pape en hystérie de fans. C’est la vidéo-sphère, une machine à fabriquer l’événement et des "adeptes" qui ressemblent plus aux fanatiques de Claude François qu’au citoyen, voire au croyant ordinaire. Ils ont décidé de fabriquer un peuple français de "fans" de l’Europe. Et se sont conduit comme s’ils avaient affaire aux dits "fans". L’Europe, sa défense, excusait tout, certes le traité n’était pas idéal, mais l’idole exigeait qu’on lui dise Oui.

Et ils continuent, ils ignorent superbement qu’une majorité de citoyens français dit Non à ce traité. Ils espèrent provoquer un mouvement d’opinion à la manière de ceux qui récemment exigeaient la sanctification immédiate du Pape... Ce n’est pas un hasard si le Président de la République a choisi une émission spectacle sur TF1, le peuple sollicité est celui de la "star académie", son vote canalisé par le spectacle et par toute une presse qui relaie l’événement sans état d’âme.

Ca c’est ce que "le spectateur" voit les paillettes et strass à la mode berlusconienne, "la production sociale des imbéciles" par décervelage, le réflexe conditionné. Mais ce qu’il n’a pas en mémoire est le système de propagande. La concentration de la propriété des titres aux mains des marchands d’arme que sont Dassault et Lagardère, le poids des annonceurs dont le plus important est "publicis" (dont un des principaux clients est l’armée nord-américaine). Sous cette influence, le système fonctionne doublement dans la défense des intérêts, il faut promouvoir ce qui se vend, le spectacle et en même temps préserver les intérêts fondamentaux des grands groupes qui tiennent le système. Faire voter OUI, obtenir par le traité, l’intégration à l’Otan, est-il un enjeu innocent pour ces gens-là ? Non la réponse est : ce qui est bon pour Bouygues, pour Dassault, pour Lagardère est bon pour la France... L’espace de liberté du "journaliste" est infime, et certains s’excitent d’autant plus sur la liberté de la presse dans le Tiers Monde qu’il leur faut éviter de s’interroger sur la leur. Le système Robert Ménard et RSF repose tout entier là-dessus. À cela il faut ajouter "les experts", un petit corps soigneusement sélectionné parce qu’ils disent ce qu’on attend d’eux et ne manifestent pas la moindre velléité d’indépendance, pas plus que "les intellectuels" à la Bernard-Henri Lévy dont la notoriété et la vente de best-seller est lié à cet échange de services. Regardez en ce moment comment ils nous vendent le best-seller DALLOZ qui nous présente des extraits soigneusement expurgés de la Constitution.

Nous avons avec le référendum une illustration parfaite de ce système médiatique : censure systématique du NON ou tentative de marginalisation (par exemple on va de plus en plus sortir Le Pen pour réduire à l’extrême-droite ou à quelques gauchistes caractériels type "la bande à Ruquier" le vote NON), "tout ce qui compte médiatiquement parlant" se mobilise en faveur du OUI. Le président de la République se met au-dessus des partis c’est-à dire qu’il choisit de participer à la star académie sur TF1. Est complètement nié dans le show médiatique le phénomène pourtant le pluintéressant de ce référendum, une forme de démocratie participative, la multitude de gens qui lisent, s’informent, débattent.

La destruction depuis des années des possibilités d’intervention politique

Ce qui est caractéristique de cette situation est la négation de la réalité, qu’il s’agisse du show médiatique ou du consensus feutré des institutions politiques coupées du peuple. Cela n’a pu avoir lieu qu’à travers ce qui s’est passé depuis plus de 20 ans. Tous les instruments de la démocratie représentative et participative ont été mis à mal. L’extension du chômage a joué un rôle central sur la désorganisation politique et syndicale à la base. Mais cela a été accompagné par une pression idéologique d’une grande puissance. On a commencé à vouloir nous faire crier "vive la crise", puis à nous donner comme modèle l’aventurier des temps modernes type Bernard Tapie, "enrichissez-vous nous disait-on, les syndicats, le militantisme, nous ont été présentés comme "ringards", "conservateurs" et ceux qui échappaient à la stigmatisation étaient ceux qui se moulaient dans le modèle du "réalisme" ambiant. Mais qui a mesuré l’atteinte réelle à la démocratie que pouvait représenter l’attaque contre le syndicalisme ?

Par faiblesse, désarroi ou autres, les partis de gauche ont largement contribué à cette perte de démocratie réelle. L’évolution du PCF est particulièrement caricaturale. Sous couvert de "mutation", tout a été mis en oeuvre pour détruire cette base militante, pour décourager ces militants d’intervenir sur la vie de leur parti. Les directions "de base", "les permanents" ne sont le plus souvent que des employés de collectivités locales intégrés de diverses manières à "l’union de la gauche", seule leur adhésion syndicale leur confère une marge d’autonomie limitée à leurs intérêts de salariés, mais sur le plan politique l’intégration au système est prioritaire. Il faut bien voir que nous sommes ici devant un système qui dépasse tel ou tel mais qui touche en profondeur à la démocratie en France et qui conduit à un système proche des États-Unis, une alternance sans alternative. Comme le disait le dramaturge est allemand Heiner Muller : "nous sommes devant deux marchands de saucisse, l’un dit je mets plus de Ketchup, l’autre dit je mets plus de moutarde, mais c’est la même saucisse". Cela aboutit à créer de faux enjeux, qui paraissent dérisoires mais qui sont abondamment relayés par les médias pour qui ils constituent également une marge "d’autonomie" sans danger (souvenez vous du mariage des homosexuels et de Jospin sortant de "son silence" pour se prononcer sur cette question, voilà le type même de l’intoxication politico-médiatique). La vie politique en devient de plus en plus un spectacle étanger à la vie quotidienne... On ne vote plus pour mais contre... Une des caractéristiques de la bataille autour du référendum, et ce depuis le Non de la CGT, la découverte de la circulaire Bolkestein aété au contraire la réflexion sur ce qui était réellement en jeu.

Avec la conscience aiguë que si l’on acceptait ce traité, on aurait plus si souvent l’occasion de peser sur ce qui se ferait indépendamment de nous. Les institutions européennes "fédérales" ne peuvent que renforcer ce bipartisme de fait, avec comme aux États-Unis le poids de plus en plus lourd de l’argent dans les campagnes électorales. Celui qui n’a ni argent, ni appareil médiatique derrière lui ne peut pas être élu. Et la politique spectacle consacre cela... Il y a eu en quelque sorte un réflexe français assez raisonnable : "Où tout cela nous mène-t-il ? Excusez-moi je réfléchis !"

La "dépolitisation" locale

Au plan local, face à cette dissolution du tissu militant, le clientélisme, la notabilité, le saupoudrage des subventions remplace peu à peu tout projet social. la "décentralisation" a accentué cette tendance à voir se substituer un équilibre entre de multiples intérêts privés à l’intérêt général. Il y a au niveau local une reproduction de l’appareil à consensus européen. Les "programmes européens" auxquels il faut se conformer pour obtenir des subventions uniformisent en amont ce que le clientélisme uniformise en aval, la perte de débat politique, une sorte de technicisation du choix politique.

La manière dont au plan local se sont multipliés les débats référendaires, l’ardeur à comprendre les enjeux, se heurtent à cet appareil consensuel. Et ils découvrent la machine institutionnelle bien rôdée, les soutiens dont elle bénéficie. Ainsi le comité local d’Aix en Provence pour la défense du Non découvre avec stupeur que l’Éducation Nationale s’engage dans le Oui, que le recteur de l’Académie de Nice transmet une circulaire aux chefs d’établissement afin que les enseignants d’histoire et géographie montrent à leurs élèves les aspects positifs de l’Union Européenne, telle qu’elle se construit actuellement avec la Constitution. Ils découvrent que "cependant, force est de constater que, même sur le plan local, le Oui à la Constitution profite de moyens et d’infrastructures qui nous sont refusés. Le Gouvernement a décidé, en particulier, d’utiliser les services de ses ministères pour animer une campagne de propagande afin de faire triompher le Oui. C’est la venue de la députée européenne Marie-Arlette Carlotti (PS), pour « Le printemps de l’Europe », dans un lycée de Vitrolles, qui se transforme en une heure de promotion de la Constitution européenne devant un parterre de lycéens (BEP, BTS surtout), dont bon nombre est en âge de voter (ou en tout cas d’influencer le vote de leurs parents). C’est la distribution auprès des lycéens d’une brochure « Pour une constitution », tirée à 750 000 exemplaires par la Commission européenne. Explication d’Yves Gazzo, chef de la représentation en France de la Commission européenne, dans un courrier aux chefs d’établissement : « le gouvernement de la République française, le Parlement européen et la Commission européenne ont établi un partenariat en matière d’information sur l’Union européenne. Le thème prioritaire cette année concerne l’information sur le traité établissant une Constitution pour l’Europe ». Mais, c’est aussi la censure de la revue pédagogique « Textes et Documents pour la Classe » (TDC), dont un numéro spécial est consacré à la Constitution européenne : la partie sur les arguments contradictoires a disparu afin que les arguments du Non ne soient pas présentés aux professeurs lecteurs de cette revue.

Ce qui se passe à Aix-en Provence se passe dans toute la France, face au rouleau compresseur des partis majoritaires, face à la propagande médiatique, face aux énormes moyens financiers, médiatiques, face à un appareil médiatique, un peuple qui veut comprendre, juger en connaissance de cause, se "politiser", se heurte à la "machine à dépolitiser". Il y a un "choix officiel", plébiscitaire et il faut interdire tout autre choix, empêcher par censure, par isolement, par provocation que puisse s’exercer le droit démocratique, pas le rituel. Celui-ci ne cesse au contraire d’être exalté, justifie tout y compris les guerres de pillage, mais l’exercice réel de cette démocratie.

Mais le véritable pas sera accompli quand tous ceux qui se sont éveillés à cette pratique démocratique comprendront à quel point ils ont besoin de véritables organisations et quand ils ne se laisseront plus déposséder de celles-ci par la pseudo légitimité de ceux qui sont censés les représenter. Face à certains dirigeants, à leur capacité à trahir le peuple qu’ils sont censés défendre ou tout simplement les adhérents de leur organisation, personnellement je n’ai pas envie d’une "chasse aux sorcières", simplement de leur dire, dans le prolongement de cette calme réflexion sur un traité constitutionnel : "Vous venez de faire la preuve que vous n’étiez pas capables de diriger. Donc nous vous proposons de reprendre votre place au milieu des autres dans la salle et de laisser quelqu’un d’autre s’installer sur le podium". Ce n’est pas grave, la période était difficile, la pression insupportable. On ne vous en veut pas mais laissez la place à des gens plus résistants, et surtout apprenez à nous écouter, ce sera plus facile si vous êtes au milieu des autres "


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mardi 3 novembre 2009 à 13h30


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vendredi 27 mai 2005 à 15h28

bonjour,
je viens de lire votre contribution que je considère particulièrement intéressante pour la compréhension du contexte, du contenu, des moyens mobilisés et des résultats (à venir) du référendum.
ce qui me conduit à poser une question fondamentale :
quel avenir pour toutes ces contributions que nous lisons ou bien souvent ne faisons qu’entrevoir sur Internet tant il y a à lire et que le temps est compté.
Comment au-delà du 29 mai, organiser la connaissance, la diffusion et les échanges relatifs à cette nouvelle richesse collective que constituent les contributions individuelles et collectives élaborées au fil des mois et des semaines dans le cadre d’une démarche civique ?
Tous les champs sont abordés et sur tous les registres !
cette création individuelle et collective ne peut pas être qu’éphémère !
Hélène, simple citoyenne...

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