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Les CHRONIQUES NARQUOISES et autres de Jacques Franck (juillet/aout 2014)

vendredi 8 août 2014
par  Jacques Franck
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Une politique humanitaire…

"Pour un œil, les deux yeux. Pour une dent, toute la gueule !" Ainsi peut s’exprimer la morale de l’état d’Israël. Les provocateurs du Hamas tirent des missiles de courte portée sur les villages israéliens voisins. Sous prétexte de se protéger, Monsieur Netanyahou lâche ses chiens contre le petit peuple de Gaza. Ses chiens, c’est à dire ses bombardiers, ses hélicos, son artillerie lourde, ses troupes, ses chars, sa marine. Ils démolissent des immeubles ; tuent des femmes sur les marchés, massacrent des enfants à la plage. En peu de jours, un pays riche et super armé se permet d assassiner des centaines de civils. Une fois de plus, il applique sa morale de lâcheté et de sauvagerie raciste. Monsieur Netanyahou est un ennemi des peuples et de la paix.

Les facettes du Président

Un avion s’écrase au Mali, tuant 118 personnes. Monsieur Hollande est un homme de cœur. Il organise les recherches, reçoit les familles des victimes, ne parle que de ce malheur, l’érige en priorité médiatique, met la France en berne. Un avion s’écrase en Ukraine, abattu probablement par un missile, tuant 300 personnes. Monsieur Hollande est un homme de fermeté. Avec ses collègues américain, britannique, allemande et italien, il sonne l’hallali contre la Russie et appelle au renforcement des sanctions contre ce pays. Un peuple est écrasé à Gaza sous les bombes de son puissant voisin Israël. Plus de 1000 morts, civils, femmes et enfants compris. Monsieur Hollande n’élève pas un mot de protestation, de solidarité, de compassion. Il ne s’associe pas aux résolutions de l’ONU. Il est trop occupé pour ça.

Un patronat citoyen

Encouragées par la bienveillance constante à leur égard des implacables socialistes Hollande et Vals, les diverses mafias syndicales patronales exigent une réduction drastique des dépenses de l’État. Elles ont raison. L’argent de nos impôts va aux hôpitaux, aux écoles, à la culture, à la police, aux équipements publics, aux fonctionnaires qui gèrent la marche de la République : il est honteusement dilapidé. Il devrait être prioritairement affecté au seul budget citoyen qui vaille : celui du patronat.


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