Fraternellement ! Avec ceux qui le peuvent encore... Assez de la haine sur cette région du monde, assez des discourt guerriers LA PAIX

PS au webmaster : L’image de départ ma frappé, il faudrait la sortir du porte folio et la mettre plus en évidence.

Quel beau texte.... mon frère, si je puis me permettre cette parentée tant ce que je lis rejoint ce que je pense !!!
merci

De deuil en deuil, de joies honteuses et mortifères, entre missile et bombes humaines.

Je préfère le courage du vivre ensemble à celui de mourir bêtement. Au sommet de l’escalade, sur la dernière marche : il n’y à plus que le saut dans le vide, le saut dans la mort. Les hommes sont trop fiers pour aller en arrière, les hommes sont trop bêtes pour se soumettre à la paix. Et pourtant, je l’entends la foule en liesse, j’entends les enfants d’Israël et de Palestine fêter ensemble la célébration de la vie. Ces sons ont t’il dix, vingt ou trente ans d’avance ? Peut être plus… Mais après les larmes et le sang, la paix vient parfois en un seul jour, alors ceux qui s’aliènent à la violence, s’abandonnent dans leur silence.

Qu’il vienne ce silence et qu’ils se taisent à jamais ! Tout un peuple au bord du gouffre par leur faute ! Ces guides de guerres ne savent pas vivre. Je sais l’injustice première mais elle a mi-fin à une errance de plusieurs millénaires. Il reste après tout un état Palestinien... Le flot incessant des va-t’en guerre a noyé toute « victoire » dans la honte du sang, des femmes et des enfants. Choisissez une morne plaine et que les cœurs morts des deux parties, s’affrontent pour un dernier combat où ceux qui sont fait pour les guerres, de part le monde, puissent aussi les rejoindre, pour une dernière furie et nous laisser en paix.

Leurs errances doivent prendre fin, leurs biles s’écouler et s’assécher dans la terre, elle a but trop de sang innocent, un fleuve de soixante ans. Place à la vie ! Que les humains de bonnes volontés, soit débusquées et mit aux responsabilités. O Israël grand Israël, tu es Goliath le sage, qui retient sa fureur. J’ai entendu les voix, aucune, ne ma convaincu qu’il fallait t’abattre. Ta force me fait peur mais tes sages me rassurent, ils savent le danger de ne plus avoir de voisins. N’est ce pas un retour ? Je ne vois pas de colonisation, ils n’ont pas d’autres terres et aucun retour possible. Je vois la fin d’une errance et une promesse enfin tenue me semblant sacré. Le monde arabe est assez vaste pour laisser le peuple juif soigner ses plaies fait de pogromes, d’exodes et de shoah, récolté à travers le monde. Partager avec ses frères est pour moi le meilleur de l’héritage.

Que la Palestine, entre avec courage en terres de démocratie et de droit, le danger de tout perdre grandit. Avec l’aide de toutes les nations, armé vous pour la vie ! Ceux qui vous veulent morts ne sont pas dignes de décider de vos destinés. Ceux qui à votre agonie réclament de vous, de mourir jusqu’au dernier sont vos véritables assassins. Ne voyez-vous pas la folie de mourir pour étendre l’ombre d’une bannière ? Vivez ! Aimer ! Cesser de mourir par pitié.

Tous nous regardons entre propagandes et vérités, chacun suit le cours de sa haine ou de son cœur, devant tirez à boulet rouge sur l’ennemi de leur cœur. Assez ! L’épuisement est partout, chaque mort israélien nourrit la détermination de tout Israël et de son peuple épars. Chaque mort palestinien est un coup de fouet pour les musulmans outrés par la misère subit avec pour liant, un islamisme qui n’a cure des enfants et de l’avenir. L’opinion au milieu terrorisé par tant d’acharnement à se relever pour écraser à son tour.

Chaque balle, chaque arme, chaque missile a enlevé tout espoir d’indépendance économique, tout pour la mort rien pour la vie. Si au moins les Palestiniens étaient seuls à décider, ils irrigueraient leurs champs, vaquerais à leurs occupations. Au lieu de cela les idiots du village du monde entier se sont donnés rendez-vous là-bas… Le monde entier vous tend la main comme as un enfant épuisé par le ressac. Le temps est mure pour vous relever, éduquer vos enfants et les conduirent vers l’état de citoyen. Après avoir démontrer que vous pouviez mourir pour votre nation, il faut maintenant avoir le courage de vivre pour elle.