Bonnaud et sa bande de chouettes racailles reviendra, où que ce soit, sur je ne sais quel radio-Londres, et avant ou après que Schlessinger, l’empuanteur directeur de France-Inter, ait fini par se faire lui-même karchérisé pour rejoindre les poubelles audiovisuelles (c’est déjà fait quant à moi, je n’écoute plus cette station, de même que, durant la Seconde Guerre, les gens n’écoutaient pas radio-Paris-ment, radio-Paris est allemand.)
Lorsqu’on entend - par ailleurs, mais c’est les mêmes mauvaises vibrations - ce que dit Sarkozy quand il pense tout haut et qu’il pense trop, on comprend que les temps sont à la médiocrité crasseuse, à la soumission chienne, au mensonge crapoteux, à la complicité maffieuse, à la non-pensée clonée, aux infos dégeulis, au moralisme de punaises de sacristie de merde, à la partouze politique, et la flicarderie voyoutée, et alors, comme ça pendant cinq ans, dix, pourquoi pas, avec remontée des eaux d’égouts dont la télévision chazalisée se fait le receptacle doré pour serviteurs volontaires drukérisants.
Bonnaud et son humour à pics ne pouvait que dépalre aux valets de pique de cette société mortifère, formolisée, de même que Schnedermann ne pouvait finir que par être viré du bord... Alerte rouge :
LES MEDIAS, C’EST L’OCCUPATION... (Serge Daney)
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