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vendredi 25 février 2005
par  Jean-Luc Gonneau

GOUVERNER, C’EST MEPRISER ?

GOUVERNER, C’EST MEPRISER ? Par Jean-Luc Gonneau Voici quelques années, Action et Réflexion pour le Changement Social (ARCS), une association qui s’est malheureusement mise en sommeil, avait, lors de son colloque autour de la notion de pouvoir, attiré l’attention sur le (...)

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mardi 1er mars 2005 à 17h45 - par  karim bey smail

Le mépris est du à la méprise des intentions des gouverneurs, par les gouverné lors des campagnes électorale (vous me suivez ?) Moi je part du principe que les campagnes électoral, place les candidats dans la même position qu’un chômeur de longue duré face à un employeur potentiel : il fera tout pour endormir la méfiance, dans ces cas la nous sommes tous prêt à faire des heures supplémentaires, à s’investir au détriment de notre vie personnel et d’autres sacrifices. Une fois le contrat signé ont devient plus circonspect et ils font de même… L’ambition de donner son nom à une loi (ce que je trouve dangereusement narcissique) engendre le mépris, quand l’ambiance général devient intenable : ils ce disent facilement incompris par le peuple et ce place dans le mépris, pour s’éviter les affres d’une remise en cause de leurs perceptions des choses… Gouverner c’est gérer l’existant on réforme généralement dans la douleur par ce que le changement dérange forcément ceux qui s’accommodait de l’existant. Nous voudrions tous que la France change mais ceux qui s’y emploie sont mis au jour par ceux qu’ils dérangent. Un coup à droite un coup à gauche les français sont d’habille barreurs, conscient que l’éxes de pouvoir prête forcément à de grand danger et de grand bonheur : les 35 heures et leur remise en cause nous le montre bien mais la je ne pense pas que la régulation ai été souhaité. Le gâchis électoral de la gauche pluriel à coupé l’ascendance qui me paraissait inexorable et la gauche repart aujourd’hui de zéro (encore plus lorsque l’on observent nos cadres…) Jospin si le pen était passé aurait il fuit à londre ? Je ne sait pas si je lui pardonnerait sa fuite, je me suis senti abandonné face à cette échec tellement prévisible : l’expression de la diversité de la gauche doit ce faire dans les élections mineur mais pas lors des présidentiel… aujourd’hui quand je regarde le premier secrétaire, je me dit que la responsabilité de mon engagement est de croire en lui mais je n’y arrive pas. Je ne voit pas comment, n’y pourquoi, il changera les choses autour de moi. D’ailleurs le faut t’il vraiment ? Ne peut-on pas plutot croire que la juste application de la démocratie française de ces lois et idéaux, suffirait à mettre du vent dans les voiles ? Je pense que le badinage des principes fondamentaux qui nous gouvernent sont intraséquement responsable et du marasme et du mépris. Peut-on croire en JFH ??? Personnellement, je ferait bien du militantisme pour Ségolène ; n’est t’il pas temps d’avoir une femme au plus hautes instance ? Il faudrait que le mépris cesse et que l’esprit de campagne perdure tout le long des mandats acquis, car on ne peut pas votez indéfiniment pour des personnes qui dans leurs actes servent plus leurs intérêt personnel que les intérêts du peuple : ça parait même tellement désuet et naïf de l’écrire autant que de vouloir à tout prix entrer son nom dans le Dalloz quel pauvres ambitions face une lumineuse aspiration ! Messieurs, Mesdames vous qui êtes dans le jeu : sur quoi ce fonde votre engagement ? Qui servez vous ? la gauche est il un outil ou une réelle recherche du cœur et de l’esprit ? Personnellement mon engagement ce limite aux urnes je n’ai pas de formation politique les figures du PS ou les grands noms n’y sont pour rien le socialisme parle a mon cœur et à mes tripes par ce que je suis d’une minorité ? je ne sait pas et le mépris des politique pour nos vicissitudes est blessant prenez garde de ne pas en user la confiance politique effrité ne tient qu’a un fil


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